Gerris chez Elie Faure

"Il a vu, dans les vols rigides, s'allonger les cous, et les yeux ronds clignoter au ras des têtes plates et les becs spatulés ou pointus repasser les plumes vernies. Il a décrit les cercles concentriques que font les araignées d'eau sur les mares, il a découvert l'attente des roseaux quand le vent va se lever, l'agitation que l' action des rosées et le voisinage des sources donnent aux graminées et aux fougères."
Élie FAURE , Histoire de l'art : L'Art médiéval (1912), p. 214

Citation communiquée par Jean-François Crétaz